28 février 2008
d'Amadora à la rue d'Avron : planches voyageuses
Achetées vierges à Amadora, Amadora qui est au Cap-Vert ce que Montreuil sous Bois est au Mali, où veinards, Luis et Ana nous avaient prêté un appartement, après des semaines de quête désespérée ( les Portugaises ont de magnifiques bacs en ciment dans leurs cours avec planches à laver intégrées ( intransportables), ces deux stèles sont aujourd'hui la propriété de VB chez qui on peut les admirer dans l'entrée, rue d'Avron, à côté du tableau orange des vacas do Pedro, ah as vacas do Pedro. Que saudade meu deus do ceu, que saudade que temos. E nao so do Pedro. Mas tambem, sim das bananas, das areias pretas, da gente boa, dos amigos dos Açores. Sera que uma viagem se prepara ? Je demande pardon aux Lusophones pour l'incapacité de mon clavier à restituer convenablement les accents.
Va savoir pourquoi, ces planches semblent avoir appartenu à deux veuves de soldats de la première guerre mondiale, morts le 9 avril1918 pendant la bataille de la Lys.
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