autoportrait de l'artiste au fond de la piscine ...Reynaldo aime les bulots, pas le boulot. Juste une légende.
Quand vous aurez visiter son exposition à la galerie Poussière d'étoiles ( on croit rêver, moi qui suis repartie sur la mienne, d'étoile et qui en ai peint , des étoiles en veux-tu en voilà depuis des jours et des nuits, quelle coïncidence...), vous ne le direz plus.
Oh, le collègue, le Mowgli de la forêt d'Orléans, le bougre, le luron, comme dirait Georges le Cloupier, il nous en a mis plein les mirettes. A Sauve,Gard (lieu qui appelle à rester en éveil, à tenir notre point, ou notre fêlure ). A quelques kilomètres du restaurant de François Béranger. Voilà un dîner encore un dîner que nous avons raté. Arrivés trop tard pour ce dîner. En revanche, nous l'avons écouté, lui et ces mots terribles. De vraies retrouvailles. En coup de vent mais denses.
J'ai bien peur que reynald ne puisse jamais exposer à la fondation gergolienne PAJ...(very private and indecent joke)
On a bien fait d'aller lui souhaiter son anniversaire au Reynaldo, c'est lui qui nous a fait un cadeau. J'ai mis une option sur le numéro 250 ou 400, je ne sais plus trop.
J'ai dû abuser du champagne ou du chorizo preto. Tu sais , le noir et blanc qui a l'air cousu de fil noir par une couturière émêchée, celui à droite, là, le carré.
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