28 mai 2008

parole sans image

Conversations de pique-nique courneuvien, dimanche après midi, autour de la nappe. On évoque le temps qui passe, les derviches tourneurs, le flamenco, le bateau, l'IUT de Tours, le Portugal, les tomettes de Leuriou, les premières cuites de certains, les Açores, l'ébénisterie, l'option cinéma, le BAC, les journaux, le Togo, le chateau, etc. L'une se souvient de la phrase que sa mère disait :
"Live as if you were going to die tomorrow and study as if you were going to live forever."
Je me souviens que cette mère-là m'épatait quand j'avais 18 ans.
Elle était régulièrement invitée à Aujourd'hui madame, elle offrait des échelles de corde à ses enfants pour qu'ils puissent s'échapper en cas d'incendie...
Aujourd'hui madame n'existe plus depuis des lustres mais je pourrais peut-être offrir des échelles de corde à mes enfants

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Christine
j'avais écrit un joli message qui s'est perdu dans les tréfonds du web pendant que je me construisais laborieusement une identité virtuelle.

Tout ça pour dire que je t'ai lu avec une petite émotion quand tu nous causes de ma mère... et de la Seine-Saint-Denis.

Tu as bien fait de venir chercher ton dû de bonheurs à la Cerisaie (après la rituelle marche forcée)

Hope to see you again soon

Laura

christinecho a dit…

Salut, fille de,
Tu n'es pas obligée de te choisir une identité. Le plus simple est de rester anonyme, mais en signant avec des initiales ou un clin d'oeil ...
Ravie que ça t'ait plu...
Christine