Hier soir à la Poudrière, des surprises. Deux films muets.
A propos de Nice de Jean Vigo et l'émigrant de Charlie Chaplin, avec l'accordéon de Marc Perrone comme paroles.
Le lavoir, les laveuses et le linge aux fenêtres niçoises...
Les histoires de MP :
Un petit garçon dans une école : " c'est bien ta musique mais c'est trop fort, on entend pas les paroles"
Il voulait jouer de la guitare jusqu'au jour où il a vu à la fête de l'huma quatre vieux musiciens cajuns. L'un d'eux jouait de l'accordéon diatonique. Il a été fasciné, le lendemain, il allait chez Paul Beuscher. Le jeune vendeur ne voyait pas du tout ce qu'il voulait. Un accordéon diatonique, connais pas. C'était dans les années 60. Un vieux vendeur lui en a sorti un tout poussiéreux " ça fait 15 ans qu'on ne nous en a pas demandé. "
Dans le que sais - je, Il a lu : instrument obsolète et caractéristique de la ruralité. C'était plutôt marrant pour un jeune homme qui habitait la Courneuve.
Accordéon diatonique et hip hop, ça , au moins, j'ai aimé dit la petite.
Accordéon et petites chansons.
La musique de l'Atalante. Les feuilles mortes.
Moi, j'ai tout aimé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire