Il y a des jours où il faut regarder de très près pour trouver une petite lumière digne d'intérêt.
Aujourd'hui, l'envers du couvercle de la malle du soldat Medeiros de Almeida m'a fait un clin d'oeil. Il reste là collé une étiquette qui date de son achat et qui dit : grandes armazens do Chiado, ceux-là même qui ont brulé en août 1988 .
Dans la cour, le premier bouton d'Albertine me sourit. Je me souviens que la floraison coïncide en général avec le jeudi de l'ascension. Tout est donc bien engagé de ce côté là.
A Canala, l'épicier dit que si l'orage a éclaté c'est parce que celui qui a croqué la première igname avait comme totem l'orage ou la foudre. Je ne sais pas si ça peut se répercuter jusqu'ici. En tout cas, ici aussi, l'orage a éclaté ce soir. J'ai juste eu le temps de rentrer le linge. Et en stupide occidentale intoxiquée par la société de consommation j'ai pensé au Crunch...
3 commentaires:
tiens, ici, renaud chante les carambars d'antan, les coco bauer, les vrais roudoudous et les mistral gagnant
mange du crunch, petite
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ah, la chanson qui me fait toujours pleurer surtout quand Julie danse dessus...
Pas de crunch mais du chocolat du meilleur chocolatier de Frankfurt offert par Celina. wunderbar
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