01 décembre 2009

Sous le brasseur d'air





J'aurais bien parlé des monnaies de coquillages qui s'échangeaient dans la coutume ( et s'échangent encore) pour les grandes occasions. J'aurais bien écrit une petite leçon de choses comme Laura les aime sur les aiguilles du Bois de Fer ( ou casuarina parce que ça fait penser aux plumes du casoar) Mais il fait si chaud ( ça y est ça a fini par arriver)qu'on a brutalement plus la force de rien faire. Seulement rêvasser sous le brasseur d'air, immobile. Penser à tout ce qu'on ne va pas avoir le temps de finir d'ici une semaine.
Oui, on dit brasseur d'air. Je disais ventilateur. Comme dans la chanson, l'énorme et lourd ventilateur déchirait l'air épais comme du manioc...
(A propos de chansons, on s'est offert une soirée rafraîchissante"On connaît la chanson" même la bande annonce fait du bien pour les petites baisses de moral)

2 commentaires:

Anonyme a dit…

le froid par içi me paralyse,envie de ne rien faire, de révasser, non de simplement dormir pour ne plus penser...On connait la chanson sera très prochainement au programme, très juste, c'est exactement ce qu'il me faut.
bises.
Maman bobo

christinecho a dit…

oh oui ça fait du bien