Nous avons eu du mal à nous comprendre, elle et moi. Je me suis dit que le dymotage n'était pas comme le ski, le vélo , la natation et les tables de multiplication.
Mais j'attendais depuis si longtemps ce premier dymo haiku. J'ai insisté, je lui ai dit salut en coréen ( le petit épicier jovial de Roturoa Rotorua nous avait fait répéter : annyeong plusieurs fois en rigolant), ça a payé.
Je dédie ces deux premiers dymohaiku à Jean C, champion du monde d'étiquetage qui, découvrant cet objet magique nous colla notre nom sur toutes nos affaires d'école et d'ailleurs, même qu'on en trouve encore, 40 ans après.
La pince Dymo aura survécu au Polaroïd...
Longtemps, longtemps, après que les poètes ont disparu, leur chanson court encore dans les rues...
Enjoy a daydream
wait for a water message
behind the white door
a dymo haiku
conversation with aghost
I forgot a space
5 commentaires:
Bon... que dire... quelle ingeniosite! quel plaisir des yeux! Quelle artiste!!
arrêtez je vais lâcher mon fromage...
C'est très stimulant mais n'exagérons rien.
Tiens,tu passes au bleu!
Lancement du thème de l'année prochaine in Roccafortis !
Dymonamite-toi bien ! Cette petite pince me renvoie des années en arrière... quand ma mère changeait les étiquettes de notre boîte aux lettres... Nostalgidymo... Sophilo
J'ai choisi la couleur en pensant à vous, Rochefortaises.
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