Mano n'avait pas menti. Il était bien question d'un trou dans le mur par lequel se parlaient des amoureux, de fées et de farfadets, d'une femme qui aimait un homme qui aimait une autre femme qui aimait un autre homme, d'élixir d'amour administré aux mauvaises personnes, la vie, en somme.
On sait maintenant que le joli théâtre à l'italienne ne rouvrira pas de sitôt. On s'habitue à rejoindre le parallélépipède qui le remplace par le chemin de pâle lumière verte au bord du fleuve.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire