24 janvier 2009

à vau l'eau peut-être mais en gardant le cap


En rentrant dans la nuit, sous la pluie, face au vent, on se demandait ce que Volo voulait dire.

La soirée avait été agréable, nous faisant oublier les fatigues de la journée.

Juste sous leur nez, nous avons écouté deux charmants garçons nous raconter leurs histoires d'amours avec des marchandes de pizzas qui s'appellaient Elisa et des voyageuses prises en otage dans la gare de Poitiers. On remercie Sophie qui avait pris les places.

A vau l'eau, au fil de l'eau, à la dérive. Mais en fait ils s'appellent Volovitch.

Et ce soir, le spectacle continue et je le sais d'avance, va nous enchanter : tu serais une fleur et moi à cheval....

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