11 février 2009

une tasse de poésie pour se réchauffer



 Impossible de relever les volets électriques, d'allumer la lumière et la cafetière.  La goutte au nez et dans la pénombre, on a  écrit des haïkus pour se réchauffer, appris un poème touareg "Homme, bois de l'eau pour te rendre beau, gave toi de soleil pour te rendre fort et regarde le ciel pour devenir grand "et une poésie de Prévert tout à fait  incongrue : laissez les ruisseaux dans leur lit, laissez le café passer si ça lui fait plaisir. La Charente qui n'est pas un ruisseau n'a pas suivi le conseil et le café nous a manqué.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Laissez les étoiles de mer sortir la nuit si ça leur fait envie