18 février 2009
saudade du carrelage
Tandis que notre indianajones franchit gouffres, torrents et éboulis, pour rejoindre sa salle de classe, nous essayons d'imaginer ce qui nous attend et écoutons bouche bée les rares mots qui arrivent jusqu'ici. Pluies torrentielles, routes coupées, heures d'attente, chaleur et humidité. Ici les carreaux de l'entrée sont toujours aussi froids, toujours aussi beaux. Ils me manquent déjà. Si c'est pas de la pure saudade, Francisco qui m'avait dit avec arrogance que jamais je ne la sentirai moi la saudade , française que j'étais.
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