Il faut dire qu'une certaine Isabelle Buratti m'avait bien facilité la tache... Et je la remercie.
Tout d'un coup surmonter la peur d'être ridicule ( maudite peur) et me jeter dans le grand bassin en sachant que je ne sais pas nager, enfin c'est une image..
Dans la foulée de l'exposition, j'avais participé à la Bienal de Vila Nova de Cerveira. Je me souviens que j'avais fait encadrer le collage aquarelle dans une petite officine de Bairro Alto et que la dame était très sympathique..
Quand nous avions visité la Biennale, sur le chemin du retour ( et du départ) nous avions appris avec étonnement que quelqu'un avait acheté le tableau.
Par les hasards d'Internet, je l'ai retrouvé il y a quelques mois. . J'avais noté dans mon carnet le nom et l'adresse de cet acheteur extravagant.En fait une acheteuse.
Je suis contente de savoir qu'elle ne regrette pas son achat. Le tableau s'appelait Olebozazulejo...
et puis comme c'est jeudi, je ne fais pas l'autruche. Je me tire l'autoportrait. Au plumeau d'autruche qui me semble chaque jour prendre un peu plus de place.. Et à la grosse fatigue de printemps.
3 commentaires:
j'avais décidé moi aussi de vider mes poches... de citations; mais elles se remplissent au fur et à mesure :
"mais tu as raison : ce Lawrence est un âne bâté qui ne comprend rien aux femmes"
d'agustina une femme des plus incompréhensibles
x
c'est curieux cette citation, on serait plutôt perturbé par le contraire. Encore que il n'y a parfois plus d'homme ni de femme et en même temps si.
Plus incompréhensible que Agustina, : moi quand je m'essaie à la complexité... chacun sa spécialité.
:) gosto do quadro desde do primeiro momento; uma relação simples e duradora!sem a complexidade da Agustina e sem os complexos problemas dos homens...
Enregistrer un commentaire