( Il y a au marché de Nouméa, un homme qui vend des tableaux entièrement faits avec les terres de Nouvelle Calédonie.)
Je me vois bien en Séraphine broyant la terre de Kouaoua pour faire mes rouges et mes orange.
En attendant, je fais avec ce que je trouve : des coquillages, des coraux, des canettes et des bois flottés de creek. J'ai acheté le kit du sculpteur à la Quincaillerie moderne, endroit digne de la rue Conde Barao à Lisbonne.
J'agrandis ma collection de porte clés. Je bricole des grigris.
6 commentaires:
Et ils sont prodigieux dans tous les sens du terme! J'ai vu Seraphine il y a deux jours, j'espere que tu ne chantes pas a tue-tete en concoctant ces merveilles?
les cornes de la bête, je les ai récupérés dans la tête de l'anguille fumée. L'anguille me semble être un élément important dans les histoires d'ici.
Ils me plaisent bien ces grisgris. Les cornes récupérées dans la tête d'anguille ça m'intrigue...
elles ont l'air assez grandes. Le kit aussi m'intrigue,
de quoi est-il composé. Bises.F.
Il ne leurs manque que la parole à tes grigris!:)ils sont pleins d'humour, ça me fait penser aux personnages de Christian Voltz...
Joli!
Je t'embrasse
V.
Cooool les grigris
Bizz
merci merci, ils semblent nous protéger contre la grippe A. A Nouméa tout est calme, il n'y a que la télé française qui s'affole. Qui aura raison ?
Pour l'heure, c'est plutôt l'ascension du col Paillard et de celui des deux têtons qui nous donne des courbatures...
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