26 décembre 2009

enterrer un arbre mort





Je continue ma visite du Musée des Beaux Arts d'Orléans. Avant j'aimais engloutir goulument les expositions maintenant quand j'en vois une qui me plait ( Marie Morel, par exemple à la Halle St Pierre) ça me suffit pour un long moment.
Au Musée d'Orléans, j'ai vu la belle exposition consacrée au sculpteur Gaudier Brzesca ( le gardien m'a dit : vous pouvez tout photographier mais pas l'exposition Gaudier Brzesca).
J'ai aussi découvert une oeuvre collective de trois jeunes artistes de Tours et d'Orléans autour de l'oeuvre de Driss Chraïbi. HOW TO PLANT A DEAD TREE, AND WHERE!?

Malik Nejmi (photographie), Abdelkader Benchamma (dessin mural), Mathieu Gaborit (travail sonore) Comment enterrer un arbre mort et où ?

J'ai pensé que le Musée devrait acquérir une oeuvre de Leila qui a étudié la gravure juste à côté. Je devrais leur suggérer mais après tout de quoi je me mêle.
J'ai aussi photographié ce tableau représentant des toits de New York. Le nom du peintre m'était inconnu ( Boutet de Monvel) mais pas le lieu et la date de sa mort.( Açores, 1949)



3 commentaires:

Anonyme a dit…

alors qui suis-je, moi ou quelque ethnographe de passage, pour me croire capable de saisir tout cela en ayant été simplement parachuté un an ou deux parmi eux ?

c'est lui marshall sahlins, la découverte du vrai Sauvage

et voici, voila james clifford :

ma conception de l'identité mélanésienne, que j'ai finalement comprise non comme une survivance archaïque mais comme un projet en marche, contesté politiquement, et historiquement inachevé

il est gentil james clifford the predicament of culture Twentieth Century ethnography, literature and art, harvard s'il te plaît

et j'écoute le gentil robert wyatt

once we were young

Anonyme a dit…

finalement à orléans ils seraient plus sympas qu'à grenoble

christinecho a dit…

you'd better go to bed, Hombre...
Les guerilleros sont fatigués